Le triomphe de la vie sur la mort. N’est-ce pas exactement ce qui se produit au printemps ?
Parcourir la Bible en 365 méditations vous invite à un survol de la Parole de Dieu, du premier livre au dernier.
(Dans cet article vous pouvez cliquer sur les pages mentionnées pour visualiser la méditation du jour)
Ainsi, par la lecture de la méditation du jour 38 vous découvrirez un des textes de base dans l’Ancien Testament expliquant le point de départ de la Pâque juive. Pourquoi l’agneau pascal s’invite-t-il sur notre table au menu de Pâques ? Le témoignage de Julie (raconté le jour suivant) évoque ses souvenirs d’enfance et le sens qu’a pris ce sacrifice en lisant l’Évangile de Jean. L’agneau sacrifié chaque année dans les familles juives annonçait un autre sacrifice, parfait celui-là (voir la méditation du jour 51) !
Aujourd’hui, grâce au Nouveau Testament, nous savons…
La vie de certains contemporains illustre l’Exemple Parfait, comme ce pompier lors du tsunami survenu au Japon en 2011 (histoire vraie racontée au jour 303) ou encore, plus proche de nous, l’exemple du colonel de gendarmerie Arnaud Beltrame sacrifiant sa vie pour en sauver d’autres (voir la méditation du jour 243). Pâques nous invite à une commémoration ou à un devoir de mémoire, comme titre la méditation du jour 309. Finissons ce parcours plutôt énigmatique et mystérieux par le triomphe du Christ qu’est la Croix du Calvaire, comme le montre la méditation du jour 327. En effet, à Pâques, c’est bien de la mort de Jésus sur la croix dont il est question. Sa mort comme sacrifice pour le pardon des péchés, le pardon de nos fautes ! Mais aussi et surtout il s’agit de la résurrection, le triomphe de la vie sur la mort. N’est-ce pas exactement ce qui se produit au printemps ? Renaissance de la nature après l’hiver, symbole de « sommeil » ou de « mort », les fleurs sur les arbres apportant la promesse de fruits et une récolte plus ou moins abondante. Dans un de ses nombreux enseignements, Jésus a lui-même évoqué cette idée de mort de la graine pour pouvoir donner naissance à la plante porteuse de fruits, de vie.
« …si le grain de blé que l’on a jeté en terre ne meurt pas, il reste un grain unique. Mais s’il meurt, il porte du fruit en abondance. » (Évangile de Jean, chapitre 12, verset 24). Il annonçait alors autour de lui de manière imagée ce qu’il ce qu’il s’apprêtait à faire en donnant sa vie… pour tous, pour moi, mais aussi pour TOI… à Pâques !